Lors d’un voyage à New York Fritz Lang est fasciné par l’architecture de Manhattan.
Et c’est au cours de ce voyage qu’il conçoit le projet des décors de son film Metropolis.
La mort, les puissances occultes, le destin, la volonté de puissance, la vengeance imprègnent ce film.
Depuis son immense bureau Joh Fredersen, le maitre de Métropolis contrôle chaque mouvement, chaque recoin par un vaste réseau de surveillance.
Les riches sont au sommet de la cité, les pauvre sont exploités sous terre.
...Mais bientôt le peuple exploité devient une foule sauvage...grâce à une femme Marie. Et tout finit bien !
L’histoire est intéressante, mais le film frappe surtout par son architecture verticale, monumentale, très audacieuse.
Des photos qui représentent des séquences du film.
La machine Moloch qui avale les travailleurs
![]() |
|
![]() |
La ville souterraine inondée
![]() |
Le stade où s’entraine l’élite
et surtout cet immense gratte-ciel, si proche de l'architecture de Manhattan et qui grouille de voitures. |
![]() |
Le film est pénétré de l'intuition d'un monde totalitaire. Et l'on pense immédiatemen au livre de George Orwell - 1984 - qui date de 1949. «La solitude morale, l’homme menant seul une lutte contre un univers-mi hostile, mi-indifférent, tel est le thème favori de Lang» François Truffaut | ![]() |