La Città Irreale rend hommage à l'un des artistes les plus importants de la scène internationale de l'art de la fin du XXe siècle.
Mario Merz est un représentant de l’art povera
En 1968 il commence à créer des igloos, habitats utilisés pendant des millénaires par les sociétés indigènes.
Pour lui cette structure est matérialisée dans l’espace cosmique absolue, dans laquelle l'homme est le protagoniste.
Son œuvre est à la fois conceptuelle et sensuelle, mais toujours cohérente.
L'igloo est pour Merz «à la fois le monde et la petite maison»
Son travail est en grande partie réalisé avec des feuilles de verre, un matériau transparent fragile. La pièce inspire une réflexion sur la précarité de l'existence, sur l'instinct naturel pour la protection et sur la nécessité d'établir un contact avec le monde extérieur.
«La nature est l'équilibre de la spirale»
«Le dessin est une chose sentimentale»
Mario Merz
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